Le recul du français en tant que langue d’assimilation des non-immigrants découle en partie d’une anglicisation croissante des jeunes Québécois francophones.
Entre 1990 et 2001, le pourcentage d’enfants inscrits à l’école publique anglaise grâce au séjour temporaire de leurs parents était de 4,8 %. Il a plus que doublé à 11,4 % pour la cohorte de 2002 à 2015.