Dans une lettre ouverte publiée dans Le Devoir du 2 décembre 2015, intitulée René et Pet, Justin et Trudeau, Mme Andrée Ferretti prend ses distances avec PKP qu’elle associe à Justin Trudeau.
Elle écrit : « Justin et Péladeau se concurrencent dans l’orgie ad nauseam des selfies et autres pages Facebook. Ils encombrent ainsi le présent, pour mieux noyer le passé et se déresponsabiliser de l’avenir ».
Nos lecteurs se rappelleront que nous avions prévu cette volte-face. Dans un texte intitulé André Ferretti appuie PKP… pour le moment !, publié le 27 février 2015, nous avions présenté un historique de ses nombreux coups de cœur, suivi d’autant de désaveux aussi sincères, à l’égard des différents chefs du Parti Québécois.
En février dernier, elle encensait ainsi PKP : « Pierre Karl Péladeau est un emblème et une preuve des effets libérateurs de l’allégeance aux exigences de toute révolution ».
Auparavant, elle avait salué son « instinct politique, aucunement politicien, instinct personnel qui rejoint l’instinct populaire, dans la soif commune de libérer l’espace occupé par les rapaces en tous genres, nommément fédéralistes et capitalistes mondialistes » (14 novembre 2014).
À suivre.
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