Où sont passés les pacifistes québécois ?
Sommaire
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La centrale thermique du Suroît
« Moi, je suis connu aujourd’hui, disait Alfred DesRochers en 1976, parce que je suis le père de Clémence, bien plus que comme l’auteur d’À l’ombre de l’Orford… Quand Saint-Denys Garneau est arrivé, il a tout effacé ce qui avait été écrit avant lui. »
Le 1er mars dernier, au Gujarat en Inde, des hindous intégristes massacraient 2 000 musulmans, dont une majorité de femmes. Le silence général des médias sur de telles réalités montre une fois de plus la mesure de la désinformation à laquelle on nous soumet.
Il fallait commémorer le 11 septembre. C’était un passage obligé. Et j’ai même été agréablement surpris de la sobriété de la plupart des cérémonies et des « spéciaux » sur le 11 septembre. Mais mon esprit tordu me fait faire un Colombo.
Avec ses propositions de système de santé à deux vitesse, de « bons » d’éducation ou de réduction de la taille de l’État, ses déclarations à l’emporte-pièce contre la sécurité d’emploi dans la fonction publique et ses affirmations à l’effet de « ne pas laisser dicter sa ligne de conduite par les
Amérique latine
À mesure que les sondages confirment la montée de l’ADQ et que le programme de ce parti est dévoilé, l’inquiétude monte dans les rangs progressistes. Dans les mouvements sociaux, on discute de la possibilité d’un appui tactique au PQ pour éviter le pire.
Je téléphonais à Michel Chossudovsky pour le féliciter pour son livre Guerre et mondialisation – La vérité derrière le 11 septembre – plus de 250 personnes ont participé au lancement – qui s’est vite retrouvé dans la liste du palmarès des best-sellers, malgré l’absence d’intérêt des grands m
La revue Protégez-vous est bien connue pour exercer la défense des intérêts des consommateurs et du public en général.
Deux consultations populaires
Mardi 2 octobre, les travailleurs de Vidéotron manifestent dans la rue. Le lock-out dure depuis des mois et il ne semble pas y avoir de perspectives de règlement à l’horizon.
Peu importe la tribune choisie ces jours-ci, c’est une idée reçue que, dans tous les conflits, les femmes n’ont, par nature, aucune position politique, et qu’elles en sont les premières victimes avec les enfants.