Ottawa maquille le déclin du français
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Le 31 août dernier, deux chercheurs universitaires, Lucie Le et Aaron Vansintjan, ont présenté les résultats de leur recherche sur la gentrification et l’offre alimentaire dans le quartier Saint-Henri et dans la portion sud du quartier montréalais de Notre-Dame-de-Grâce (NDG).
« Je veux être clair : Donald Trump ne veut pas seulement des révisons de clauses ou la modernisation de quelques chapitres ».
Cet été, le Bloc Québécois a déposé un Mémoire à propos du projet de création d’un méga dépotoir nucléaire à Chalk River en Ontario, près des rives de la rivière des Outaouais. Qu’est-ce donc que ce projet, dont on a peu entendu parler ?
Il est scandaleux de voir Denis Coderre se pavaner en se présentant comme « l’ami des réfugiés haïtiens », alors que le gouvernement libéral, dont il était membre, est en grande partie responsable de la situation, qui a provoqué l’exode de nombreux Haïtiens.
Le poids du français comme langue d’usage à la maison au Québec se maintient. Il serait même en légère hausse, étant passé de 87,0 % en 2011 à 87,1 % en 2016. C’est du moins ce qu’a prétendu Statistique Canada, le 17 août, en publiant une version corrigée des données du dernier recensement.
Fin juillet, Jean-François Déry, en association avec 99Média.org présentait son documentaire Tadoussac For Sale. Avec ce court-métrage, M. Déry rend compte de l’injustice et de la profonde indignation que ressent la population de Tadoussac.