Un programme pour un pays.
Sommaire
Le 1er mai 2024 fut un jour funeste pour l’environnement, alors que la Corporation Trans Mountain (CTM) confirmait le début de mise en service commerciale de son pipeline élargi. Revoyons les étapes de cette longue saga.
L’Institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC) a publié un rapport qui risque de causer un choc aux clients d’Hydro-Québec. Depuis 2009, les consommateurs ont payé plus de 6,09 G $ pour la priorité accordée au développement de la filière éolienne par des investisseurs privés.
Après avoir remporté ben des sièges aux élections de 2022, François Legault en était maintenant réduit à devoir subir, chaque jour, plusieurs bains de siège.
Les journaux d’ici et d’ailleurs utilisent encore souvent le terme « communauté internationale » pour représenter un groupe de pays exprimant une prise de position ou un jugement à l’encontre d’un ou plusieurs autres pays.
Le fédéral soutient l’industrie des hydrocarbures de façon éhontée. Son pipeline Trans Mountain a coûté 34 milliards $ en fonds publics et vient d’entrer en service.
Au Québec, une entreprise qui désire s’implanter doit déposer un avis de projet au ministère de l’Environnement. Si ce projet dépasse certaines normes, elle se voit obligée de passer par le processus d’audiences publiques sur l’environnement. Ce processus est très bien vu mondialement.
La « Charte canadienne des droits et libertés », qui recouvre les articles 1 à 34 de la « Loi constitutionnelle de 1982 », contient en son cœur le pouvoir d’assurer la souveraineté parlementaire fédérale ou provinciale en insérant dans une loi une clause de dérogation aux droits individuels que
Le Plan pour la langue française rendu public le 28 avril par le gouvernement du Québec se veut « une réponse du gouvernement à la situation linguistique du Québec. Il vise à ralentir, à arrêter et à inverser le déclin de notre langue officielle et commune, le français. » (p. 9)
Le Parti Québécois a opté pour l’accession du Québec à l’indépendance par référendum avant les élections du 15 novembre 1976. C’était un choix stratégique qui n’était dicté ni par le droit international ni par le droit canadien.
Au fil des ans et dans une multitude de chroniques, Mathieu Bock-Côté s’est distingué en tapant toujours sur le même clou : le multiculturalisme et ses avatars.
Depuis quelques mois, je me sens dévitalisé à force de recenser des essais néoconservateurs comme « Le retour des Bleus », d’Étienne Beauregard et « La nation qui n’allait pas de soi », d’Alexis Tétreault.
Avec l’audacieuse proposition théâtrale « Carré de cendres », l’inventive Isabel Rancier plonge dans la musique et les mots rebelles de l’insondable Brigitte Fontaine.
Biographie de Fontaine
À l’approche de notre Fête nationale, j’ai eu envie de parler de préservation du patrimoine, et plus précisément de la sauvegarde d’œuvres marquantes du cinéma québécois.
Bryan Myles déclarait dans « Le Devoir » du 30 janvier 2023 que « Le déclin du français [ne devrait pas] faire l’objet de remises en question ». Dans celui du 6 janvier 2024, il se dédit. Il pose maintenant en arbitre entre deux camps.
Gabriel Nadeau-Dubois a lancé le débat sur le programme de Québec solidaire.
L’exercice sera à l’ordre du jour pour tous les partis politiques en vue de la prochaine campagne électorale, mais il prend une signification particulière pour les partis qui veulent faire du Québec un pays.
La censure aux États-Unis est un phénomène en croissance, dénoncent les syndicats de l’éducation National Education Association (NEA) et American Federation of Teachers (AFT).