Le pari québécois d’une culture avant le pays
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Dans cette suite logique de Nous étions le nouveau monde (paru aux éditions Hurtubise), Jean-Claude Germain poursuit son feuilleton historique avec la figure emblématique de lord Durham et de ses trois fils spirituels québécois : Wilfrid Laurier, Louis St-Laurent et Pierre Elliott Trudeau, qui, en substituant le Canada à la Grande-Bretagne, ont transposé, à des degrés divers, sa politique impériale unitaire envers le Québec et la nation québécoise.
À l’ombre de ces icônes de la double allégeance, s’est développée la culture populaire québécoise. L’historien raconte la laborieuse gestation de la dramaturgie québécoise jusqu’à ce qu’elle trouve sa langue avec les Belles-Sœurs de Michel Tremblay. Une langue déjà présente dans les Fridolinades de Gratien Gélinas, l’ancêtre des humoristes actuels.
La langue québécoise, c’est aussi les jurons (sacres), un legs culturel dont l’origine remonte aux dévots qui ont présidé à la naissance de Montréal, dont l’auteur retrace l’histoire à travers ses anniversaires. Il rappelle que notre histoire se conjugue aussi au féminin, des suffragettes aux humoristes.
La culture québécoise a donné une voix et un visage au Québec dans le monde, mais elle se sent de plus en plus à l’étroit dans ses souliers et ses habits de province. Il est urgent de la doter d’un chapeau de pays à sa pointure.
Jean-Claude Germain est écrivain, dramaturge, metteur en scène, directeur artistique, acteur, conférencier, journaliste, chroniqueur, raconteur, historien, amoureux des livres et fin goûteur de souvenirs. Il aime redonner à l’histoire, sténographiant à sa manière l’épopée du Québec.
Le livre sera disponible le 7 juillet 2021