Marc Laviolette et Pierre Dubuc, Le SPQ Libre et l'indépendance du Québec
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Dix ans de lutte au sein du Parti Québécois
En 2003, au lendemain de la victoire du Parti libéral, un groupe de syndicalistes et de progressistes décide de militer au Parti Québécois. Son objectif est de reconstituer la grande alliance syndicale-nationale des années 1970.
Ils proposent alors la création d’un club politique en s’inspirant de l’expérience du Parti socialiste français. À son congrès de juin 2005, le Parti Québécois modifie ses statuts pour accueillir « des » clubs politiques en son sein, lesquels pourront représenter et exprimer des points de vue spécifiques et minoritaires.
Une seule expérience verra le jour, celle des Syndicalistes et progressistes pour un Québec Libre. Six ans plus tard, en 2011, le Parti Québécois expulse le SPQ Libre et met fin à l’expérience des clubs politiques. Un dénouement dramatique ! Que révèle tout ce théâtre ?
Les auteurs de ce livre, Marc Laviolette et Pierre Dubuc, qui sont également les deux principaux porte-parole du SPQ Libre, invitent le lecteur dans les coulisses du pouvoir au sein du Parti Québécois. Ils dévoilent les dessous de leurs affrontements épiques avec André Boisclair – en particulier sur les relations avec le mouvement syndical – et font état de leurs relations parfois tumultueuses avec Pauline Marois – lors de l’affaire Duceppe, entre autres.
Aujourd’hui, le SPQ Libre existe toujours comme club politique indépendant. Il poursuit son action et ses membres continuent à militer au Parti Québécois. Par-delà l’expérience des dix années du SPQ Libre, qui demeure un modèle original et unique, le livre est aussi une réflexion qui ratisse large sur la gauche indépendantiste québécoise au cours des dernières décennies.