Un pays en tête
Édito
Coups de gueule
VIDÉO
L’AUT’JOURNAL MENSUEL
Publications
L'indépendande pour mettre fin
à l'anormalité du Québec
Menace contemporaines
à l'égalité des sexes au Québec
Le Québec et la guerre en Ukraine,
La tradition pacifiste québécoise mise à mal
Claude Morin,
un espion au sein du Parti Québécois
La laïcité de l'État
socle du droit des femmes à l'égalité
L'immigration au Québec
Comment faire mieux
L'indépendance et la justice climatique
La petite histoire de la Loi sur la laïcité de l'État et de sa contestation juridique
Référendum 1995 :
Documents inédits
Le fiasco de la politique
inguistique canadienne
Le pari québécois
d'une culture avant le pays
Plaidoyer pour un
Québec indépendant
Le Canada, le Québec
et la pandémie
Le territoire d'un
Québec indépendant
La fin de la monarchie au Québec
Une charte pour la nation
La laïcité demeure l’enjeu majeur
Les droits des peuples autochtones et l’indépendance du Québec
L'indépendance, la constitution et la constituante
La Cour suprême, le droit international et l'indépendance du Québec
Avoir un pays en tête, le vouloir en tête, c’est dessiner un Québec libre de ses entraves de province, imaginer, concrétiser tout ce que pourrait accomplir le peuple de ce pays devenu libre de ses choix et pleinement responsable.
Tel est le projet de Gilbert Paquette, qui nous présente le pays qu’il a en tête, en nous offrant dix projets élaborés pour lesquels le statut de pays indépendant est nécessaire, permettant de réaliser des mesures concrètes et actuelles. Plutôt que d’un « projet de pays », il préfère parler d’un « pays de projets ».
Sa conviction profonde est qu’une telle approche permettra de dépasser l’opposition droite-gauche en remettant le centre d’intérêt sur des enjeux faisant un large consensus au Québec : comme le statut du français, les activités économiques, les injustices sociales, la crise énergétique et climatique, pour n’en nommer que quelques-uns. La promotion de la souveraineté sans l’incarner dans des projets de pays serait, selon lui, une grave erreur.
Après le « pourquoi » de l’indépendance, l’auteur présente la démarche pour l’atteindre. Fondée sur le pouvoir constituant du peuple québécois, il esquisse les contours d’une démarche constituante démocratique permettant le remplacement du régime actuel par une constitution élaborée et approuvée par les Québécoises et les Québécois de toutes origines et de toutes orientations politiques.